En l’honneur du début de la prohibition en 1920, j’ai décidé de m’auto-prohiber. Ce n’est pas un acte anodin. C’est une décision importante et d’une grande envergure. En effet, aujourd’hui c’est quand même l’anniversaire de Kate Moss et de René Angelil (appelé aussi « mon mari René »), et je ne pourrai rien raconter sur eux. Vous comprenez ma déception…

De la même manière, je ne pourrai vous conter l’histoire de Priscilla devenue sainte parce qu’elle a logé Saint Pierre … On est d’accord, c’est un peu léger pour devenir sainte, mais je ne peux pas vous en dire plus (cf. auto-prohibition). Et nous ne pourrons souhaiter une bonne fête aux Honorat et aux Marceau. Encore plus déchirant, je ne ferai aucune blague à propos de Marcel qui est le prénom du jour. Alors je vais juste dire ceci : Marcel sois raisonnable… Marcel pas de gnôle, Marcel tu es Aymé. Marcel Cer-(les)-dant. Marcel ne Desailly pas. Marcel prends le Carmé ne t’arrête pas au Camus et surtout, ne fais de Proust.

Je ne soulignerai pas qu’aujourd’hui est un jour cohérent : un Marcel des Marceau, ni qu’il existe un Marcel Marceau. D’ailleurs pour éviter de dire son nom, il préféra mimer durant toute sa vie.

Et pour finir, je ne vous dirai pas qu’en 1976, il y a eu une pénurie de patates en Belgique et donc je ne pourrai répondre à cette question : Mais qu’a pu donc manger le peuple belge ce jour-là ? (enfin comme c’est une info dont je n’ai pas pu démontrer la véracité, ça m’arrange de ne pas vous la dire).